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ECOLES : devoirs de rentrée (219)
3,00€C’est entre craintes et espoirs qu’a débuté cette nouvelle rentrée scolaire 2017. Sur vent de remise en cause des contrats aidés, l’école semble pourtant devenue une nouvelle priorité pour le gouvernement. Des devoirs de rentrée s’avèrent d’autant plus nécessaires que de nouveaux défis attendent les bancs de l’école.
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CONTRATS AIDÉS : Qui veut la peau du social ? (220)
3,00€Colère et indignation dans les rangs des acteurs sociaux. La fin programmée des contrats aidés met en péril la survie de nombreuses structures et donc la continuité des services rendus aux plus fragiles. Face à cette incroyable provocation, fédérations et associations ont décidé de monter au créneau.
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BANLIEUES : Ouvrons les yeux! (220)
3,00€C’est une véritable avalanche de mauvaises nouvelles pour les banlieues : réduction des emplois aidés, diminution des dotations aux communes, baisse des APL, et pis encore annulation de 11% du budget accordé à la Politique de la Ville par l’État ! Les élus locaux concernés n’en peuvent plus, et ont donc décidé de mobiliser l’opinion afin d’influencer le Gouvernement, décidément peu familiarisé avec cette question. Ils ont donc organisé en collaboration avec l’association Bleu Blanc Zèbre les “états généraux de la politique de la Ville” à Grigny le 16 octobre dernier. À cette occasion, on a pu entendre Marc Vuillemot, maire de la Seyne-sur-Mer (Var) et président de Villes et Banlieues, dire combien “la réalité est cruelle”. Car tous les indicateurs tant sur le plan social qu’économique sont au rouge (décrochage scolaire, radicalisation, déserts médicaux, violence…). Pourtant ces territoires “forts de la richesse humaines de leurs habitants portent bien souvent en eux-mêmes les voies de la rénovation et de la redynamisation des quartiers”. Mais pour y parvenir, il faudrait mettre fin à “une compression mortelle des budgets publics”. De ces inquiétudes est né un manifeste solennel pour que le Gouvernement fasse de la Politique de la Ville sa toute première priorité. C’est donc un véritable appel désespéré que lancent les maires, au moment où cette politique fête ses quarante ans. Un anniversaire qui a permis de dresser un bilan qui s’avère indiscutablement positif en ce qui concerne la rénovation des logements, mais particulièrement inquiétant en ce qui concerne le développement des politiques d’accès aux transports, à l’éducation, à l’emploi. Le Jas a donc souhaité consacrer ce moisci un dossier pour présenter la synthèse du rapport récent du Sénat sur la Politique de la Ville et faire part des inquiétudes des maires en espérant qu’elles contribuent à la prise de conscience que l’avenir de la France est largement conditionné par l’avenir de ses banlieues. Ce qui devrait engager l’État à prendre toutes les mesures d’urgence nécessaires pour rétablir l’égalité de traitement entre tous les territoires de la République, mais aussi admettre qu’aucune autorité n’est plus légitime que le maire pour promouvoir dans tous les quartiers en déshérence les actions susceptibles de reconstruire liens sociaux et repères collectifs.
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L’innovation sociale a-t-elle un avenir ? (221)
3,00€Entretien avec Hugues Sibille et Jean-Louis Sanchez
Lorsque les inquiétudes d’un pays s’aggravent, avec la montée des périls écologiques, sécuritaires et économiques dans le monde, la recherche d’une plus grande cohésion nationale est indispensable. Or pour parvenir à celle-ci, il importe que les acteurs en charge de la solidarité soient eux-mêmes convaincus de la nécessité d’une plus grande coopération. Dans cette perspective, le rapprochement entre le monde du développement social et celui de l’économie sociale et solidaire s’avère prioritaire. C’est pourquoi le dialogue entre Hugues Sibille et Jean-Louis Sanchez autour de la question de l’innovation sociale peut présenter non seulement un intérêt politique, mais aussi symbolique.
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Ehpad : Péril en la demeure (221)
3,00€Prolifération incessante des normes, cruel manque de moyens humains, réforme de la tarification et des modes de gestion… les maisons de retraite s’invitent sous les feux de la rampe à l’heure où le profil des résidents connaît une profonde évolution. Et tandis qu’une toute récente mission parlementaire vient de rendre ses conclusions sur les périls qui menacent nos Ehpad, les professionnels de terrain peinent à s’y retrouver.
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Extension du domaine de la lecture (221)
3,00€Il y a dix ans déjà, Le Jas présentait à ses lecteurs les évolutions majeures qui agitaient les bibliothèques. La révolution n’est toutefois pas achevée. Alors qu’il est possible d’aller au cinéma ou de faire ses courses en soirée et le dimanche, l’immense majorité des quelque 16 500 bibliothèques de France, restent, elles, portes closes. Augmenter leur amplitude horaire pour favoriser l’accès à la culture de tous était l’une des promesses de campagne du candidat Macron. Et le président vient de confier à l’académicien, Érik Orsenna, le soin de la mettre en œuvre. Mais la question des moyens alloués reste inconnue et la mutation des établissements en “bibliothèque troisième lieu”, cœur de vie sociale, semble oubliée.
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MINEURS NON ACCOMPAGNÉS : De l’embolie à l’embellie ? (222)
3,00€L’arrivée sur notre territoire de mineurs étrangers sans attache familiale n’est pas un phénomène nouveau. Ce qui l’est, en revanche, c’est l’explosion de leur nombre, avec toutes les détresses qui accompagnent leurs situations. Chargés de mettre en oeuvre leur protection, les départements ont d’autant plus de mal à assumer leur mission que les profils de ces jeunes nécessitent des réponses nouvelles. Fort heureusement, ils ne baissent pas les bras et l’État s’engage à mieux les soutenir. Peut-on y voir un signe d’espérance ?
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INTERCOMMUNALITÉ IMPOSÉE : Démocratie en danger (222)
3,00€La France a l’immense chance de pouvoir s’appuyer sur près de 36 000 maires dont la plupart ne perçoivent qu’une très faible indemnité. Pourtant, à Paris on les considère comme trop nombreux et on les incite à se regrouper dans de grands ensembles intercommunaux qui préfigurent ce que seront demain les communes. En soi la dynamique ne serait pas répréhensible, si elle n’avait été édictée unilatéralement par l’État en fixant des seuils de population trop élevés pour conserver de la proximité. C’est pourquoi les maires sont inquiets et le font savoir.
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