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Semeurs du possible : Luc et Blandine ont pris la clef des champs (Jas 243)
3,00€L’association bourguignonne les Semeurs du possible aide les nouveaux agriculteurs lors de leur installation. Des espaces-tests leur permettent de se lancer dans l’aventure en minimisant les risques. Soutien humain et matériel ainsi que lien étroit avec les acteurs locaux font de la formule une réussite et un filet de sécurité pour faire le grand saut.
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Travail social : Comment rallumer la flamme ? (JAS 244)
3,00€Depuis un peu plus d’un an, deux rapports importants ont traité d’une question particulièrement sensible : l’état de l’accompagnement social (voir définition dans encadré 1) qui ne concerne qu’une partie des professionnels du Social. En effet, en termes d’effectifs, la capacité d’accompagnement social généraliste de notre pays, hors établissements ou services très spécialisés, ne représente qu’une partie des travailleurs sociaux. Et par ailleurs, ceux-ci se voient de plus en plus confier des tâches d’accueil et d’orientation qui limitent le temps qu’ils peuvent consacrer à l’accompagnement social. Le premier rapport, publié en septembre 2018, émane de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas). Il a le mérite d’analyser qualitativement l’impact de l’accompagnement social, et de mettre en évidence les contraintes que celui-ci doit supporter. Avec le souci de démontrer que la profonde évolution de la question sociale devrait orienter plus efficacement les professionnels concernés vers le développement social. Le second rapport, publié en mai 2019, émane de l’Odas. Il s’agit d’une recherche-action effectuée dans onze territoires, pour identifier les conditions permettant de mieux agir pour renforcer la cohésion sociale de ces territoires. Parmi les évolutions présentées comme nécessaires, ce rapport s’attache à formuler diverses hypothèses pour renforcer la mission d’accompagnement des travailleurs sociaux des villes, organismes de protection sociale et départements…
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Pour un habitat partagé citoyen et fraternel (Jas 249)
3,00€Le Rapport de Denis Piveteau et Jacques Wolfrom
L’habitat partagé accompagné et inclus dans la cité est aujourd’hui très marginal en France. C’est pourtant une voie pour répondre au dilemme vécu par les personnes qui ne peuvent pas ou plus vivre chez elle “comme avant”, mais ne souhaitent pas, ou ne doivent pas impérativement, partir en établissement médicosocial ou encore qui ne veulent plus y demeurer. Baptisé “Demain, je pourrai choisir d’habiter avec vous”, le rapport de Denis Piveteau et Jacques Wolfrom envisage l’habitat partagé comme une opportunité afin que les citoyens concernés demeurent des habitants décisionnaires et non de simples résidents. Les auteurs présentent 56 propositions (assouplissement des cadres techniques et juridiques, solvabilisation des personnes et des projets, mobilisation d’acteurs dans les territoires, etc.) et identifient 12 freins à lever. Leur approche s’articule autour de plusieurs piliers fondateurs et particulièrement celui d’octroyer “le pouvoir d’agir” aux personnes qui font le choix de l’habitat Accompagné, Partagé et Inséré dans la vie locale ou Habitat API (voir page 20).
En introduction de l’échange entre l’équipe de l’Odas et les auteurs, Didier Lesueur souligne l’aspect “engageant” du document. “Il est rare de lire un rapport aussi dynamique et pédagogique, s’est-il réjoui. Et, comme vous, nous avons, à l’Odas, la conviction que l’action sociale ne doit pas être dissociée des autres grands enjeux politiques. Car à réclamer des législations particulières, on se met soi-même dans une situation de marginalisation”. Autre point de satisfaction pointé par Didier Lesueur, le fait que les préconisations n’envisagent pas la construction d’un dispositif législatif de plus. “Votre travail, souligne-t-il, rappelle que des acteurs, des institutions, des outils existent sur lesquels il est tout à fait possible de s’appuyer. Il faudra, évidemment, des adaptations, des évolutions de postures, des garde-fous, notamment financiers et juridiques, mais la création de nouveaux étages techniques, administratif ou législatif n’est, en effet, pas souhaitable”…
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Questions à Sophie Cluzel, Secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées (249)
3,00€A l’origine, avec les ministres des Solidarités et de la Santé, et du Logement, d’une mission visant à proposer une stratégie nationale pour le déploiement à grande échelle de l’habitat inclusif, confiée à Denis Piveteau et Jacques Wolfrom, Sophie Cluzel a accepté de nous faire part de son appréciation sur l’utilité de ce rapport et ses chances d’être concrétisé…
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Pour un habitat partagé citoyen et fraternel 249
3,00€Dialogue entre les auteurs et les responsables de l’Odas
En novembre 2019, Denis Piveteau et Jacques Wolfrom ont été missionnés par le gouvernement pour réfléchir à “la mise en œuvre d’une stratégie nationale pour le déploiement à grande échelle de l’habitat inclusif”.
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“ Il faut enseigner très tôt le principe de laïcité ” (Jas 250)
3,00€Nicolas Cadène, Rapporteur général de l’Observatoire de la Laïcité
Le Jas : Comment interprétez-vous le drame atroce auquel nous venons d’assister avec l’assassinat de Samuel Paty ?
Nicolas Cadène : Un professeur a été assassiné simplement parce qu’il apprenait à ses élèves la liberté d’expression, à travers l’explication de caricatures de presse. Samuel Paty a été la victime d’un attentat terroriste islamiste dont le fanatisme glorifie l’instinct de haine, alors que cet enseignant transmettait à ses élèves les outils leur permettant de toujours se fonder sur la raison. Le terrorisme a pour but de nous diviser, en s’en prenant à des symboles et à nos valeurs communes par des actes d’une immense barbarie. Mais, comme l’a dit le président de la République, nous “ferons bloc”.
Le Jas : Quelles sont vos propositions pour préserver et consolider le principe de laïcité dans l’éducation nationale et populaire ?
N.C. : Je n’évoquerais pas les mesures de lutte contre la radicalisation qui sortent de notre champ. (…)
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Les CCAS survivront-ils ? (Jas 250)
3,00€Alors que se dressent les murs d’une crise sociale sans précédent suite au Covid 19, la pauvreté ne cesse de s’accroître dans notre pays. Chacun de leur côté, état, départements et communes tentent, non sans difficultés, d’apporter leurs réponses. A l’échelon municipal, en particulier, au plus près des habitants, les centres communaux d’action sociale (CCAS) doivent faire face à cette situation inattendue alors qu’ils se trouvaient déjà en proie à d’importantes mutations. Et paradoxalement, si l’accroissement de la pauvreté associée aux conséquences de la crise sanitaire devrait en toute logique renforcer leur rôle, ces structures apparaissent aujourd’hui en danger (…)
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L’invitée du mois (Jas 250)
3,00€“ Ne pas regarder en face le problème de la pauvreté c’est mettre en péril la cohésion sociale”
Véronique Fayet, présidente du Secours catholique
The topic is very informative, it is very enjoyable to read the articles written with such effort. TThanks for sharing.