Numéros (en PDF)

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  • Le JAS 205 (PDF)

    7,00
    SOMMAIRE DU N° DE MARS 2016
     
     
    ACTUALITÉS POLITIQUES
    6 – LE MOIS DU SOCIAL
    9 – SOCIALEMENT INDISCRET
    12 – DOSSIER : Indifférence : Brisons le silence
    18 – INVITEE DU MOIS : Patrick Doutreligne, président de l’Uniopss
    20 – SOCIAL SANS FRONTIÈRES

     

    23 – Le cahier des bonnes pratiques

     

    32 – L’AUTONOMIE EN ACTIONS : Le dispositif d’orientation permanent (Dop)

     

    ACTUALITÉ DES MÉTIERS
    34 – DÉCRYPTAGE : CIAS : une chance pour l’action sociale locale ?
    39 – DÉCRYPTAGE : Homeless plus : l’application qui nous reconnecte aux sans-abri
    40 – DÉCRYPTAGE : Anticiper la perte d’autonomie : le paradoxe français
    42 – LA TRIBUNE DES LECTEURS : Perte d’autonomie : les métiers des institutions doivent évoluer
    44 – EMPLOI : Savoir décrypter une offre d’emploi
    46 – BIBLIOGRAPHIE
    48 – LES IMPERTINENTS
    50 – AGENDA

     

  • La loi ASV vieillira-t-elle bien ? (204)

    3,00

    Lancée sous la précédente présidence, la loi d’adaptation de la société au vieillissement de la population consacre les départements comme “chef de file” des politiques en faveur des personnes âgées. Incomplète, car principalement centrée sur le maintien à domicile, elle est surtout jugée plus ambitieuse dans ses objectifs que dans son financement. La loi vieillesse semble promise à bien mal vieillir faute de soins complémentaires.

     

  • Départements : Du passé ne faisons pas table rase (204)

    3,00

    Envisager l’avenir des départements ne peut se faire sans rappeler que leur principale légitimité réside plus que jamais dans la préservation de la cohésion sociale et du vivre ensemble. C’est ce choix que Le Jas a fait en organisant avec Edenred, la collaboration active de l’Assemblée des départements de France (ADF) et de l’Odas, un colloque national sur l’avenir des départements dont nous restituons l’un des moments forts.

     

  • CIAS : Une chance pour l’action sociale locale ? (205)

    3,00

    À l’heure où la loi NOTRe encourage la disparition progressive des centres communaux d’action sociale (CCAS), se pose la question de la pertinence de leurs politiques d’action sociale locale à l’échelon intercommunal. Une démarche que certains ont déjà anticipé avec succès.

     

  • Le JAS 204 (PDF)

    7,00
    SOMMAIRE DU N° DE FEVRIER 2016
     
     
    ACTUALITÉS POLITIQUES
    6 – LE MOIS DU SOCIAL
    9 – SOCIALEMENT INDISCRET
    12 – DOSSIER : Départements : du passé ne faisons pas table rase
    18 – INVITEE DU MOIS : Jean-Louis Laville, professeur au cnam titulaire de la chaire “économie solidaire”
    20 – SOCIAL SANS FRONTIÈRES

     

    23 – Le cahier des bonnes pratiques
    32 – L’AUTONOMIE EN ACTIONS : Loi ASV : la Cnsa relève le défi

     

    ACTUALITÉ DES MÉTIERS
    34 – DÉCRYPTAGE : La loi ASV vieillira-t-elle bien ?
    38 – DÉCRYPTAGE : Ecole de la vie autonome : apprendre l’indépendance
    40 – DÉCRYPTAGE : Anticiper la perte d’autonomie : le paradoxe français
    42 – LA TRIBUNE DES ASSOCIATIONS : Etat d’urgence associatif
    46 – BIBLIOGRAPHIE
    48 – LES IMPERTINENTS
    50 – AGENDA

     

  • Les yeux ouverts (204)

    3,00

    Quoi de plus enthousiasmant que l’inclusion sociale ? Appartenir à la même grande famille et exercer librement ses droits politiques, économiques, sociaux et culturels au sein de notre société. Un idéal français, européen. Chaque réseau présent dans ce Cahier des bonnes pratiques s’en préoccupe avec conviction et témoigne de son engagement dans son champ d’intervention. Des actions à double sens, qui bénéficient à chacun et ouvrent les uns sur les autres. Participer et travailler. La Croix-Rouge française investie pour l’accès au droit à la santé ; les centres sociaux actifs
    pour le droit à la langue qui détermine le droit à l’emploi, également une préoccupation des acteurs de l’économie sociale et solidaire. Accueillir et intégrer. Le réseau ADMR, auprès des personnes handicapées, la Ligue de l’enseignement, soutien d’une action vers les enfants autistes, la Fehap vers les enfants sourds. Le concept peut  outefois être dangereux, il porte en lui le ferment de l’exclusion. La Fnadepape alerte sur l’inclusion qui aplanit toute différence. Alors agir, mais les yeux ouverts, sans retour à l’étymologie du mot, à l’emprisonnement. Pour ne pas enfermer dans des standards de pensée et d’éducation, l’inclusion oblige à déjouer le piège de l’uniformisation et de la mise à l’écart de celles et ceux par trop différents. Donner sa place et prendre sa place. Pouvoir construire son identité et être reconnu par les autres membres de la communauté. L’inclusion ou le savoir s’adapter.

     

  • Le JAS 203 (PDF)

    7,00
    SOMMAIRE DU N° DE JANVIER 2016
     
     
    ACTUALITÉS POLITIQUES
    6 – LE MOIS DU SOCIAL
    9 – SOCIALEMENT INDISCRET
    12 – DOSSIER : Privilégier ceux qui agissent sur ceux qui réagissent
    18 – INVITEE DU MOIS : Michel Thierry, vice-président du conseil supérieur du travail social (CSTS)
    20 – SOCIAL SANS FRONTIÈRES

     

    23 – Le cahier des bonnes pratiques
    32 – L’AUTONOMIE EN ACTIONS : Coup de jeune pour les ordonnances Pathos

     

    ACTUALITÉ DES MÉTIERS
    34 – DÉCRYPTAGE : Made in France : aura-t-il un avenir ?
    38 – DÉCRYPTAGE : Humaniser la prise en charge des Ehpad
    44 – EMPLOI : Directeurs de maisons départementales des personnes handicapées : De nouveaux enjeux
    46 – BIBLIOGRAPHIE
    48 – LES IMPERTINENTS
    50 – AGENDA

     

  • Le Made in France aura-t-il un avenir ? (203)

    3,00

    La crise de l’emploi que traverse le pays trouve en partie ses racines dans la désindustrialisation. Mais est-il encore possible de produire en France ? Est-ce économiquement viable ? C’est ce que tentent de démontrer de jeunes entrepreneurs en se lançant dans le Made in France. À l’heure où la marque “France” reprend des couleurs, ce pari peut se révéler gagnant… si tout le monde s’y met comme nous le faisons ce mois-ci. Mais rien de durable ne se fera sans une remise en cause du traité sur le commerce mondial (Tafta) qui menace dangereusement les produc tions françaises.

     

    2 – HUMANISER LA PRISE EN CHARGE DU GRAND ÂGE : C’EST POSSIBLE

    En 2060, la France comptera 5 millions de personnes âgées de plus de 85 ans contre 1,4 million aujourd’hui. APA, services à domicile, foyer logement, Établissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (Ehpad)… Comparé à ce qui existe à l’étranger, on pourrait croire notre pays bien loti. C’est en partie faux, car cet arsenal technique (associé à la prolifération des normes et aux conséquences du principe de précaution) a perdu de vu l’objectif principal du soutien à nos ainés : leur permettre de conserver un maximum de vie sociale. Le cas des Ehpad est emblématique des struc tures perçues comme utiles, mais dont le fonctionnement s’est considèrablement déshumanisé malgré les investissements effec tués sur le bâti. Il est pourtant possible d’y avoir une approche humaniste, de cesser de penser et agir pour des personnes de plus en en plus dépendantes, mais avec eux. C’est ce que démontrent les deux exemples que nous vous présentons ici : la résidence mutualiste “Les Nymphéas” et la démarche de soins “Humanitude”.