Voilà une disposition du projet de loi « Macron » qui a bien failli passer en toute discrétion. L’un de ses amendements prévoyait en effet de réprimer d’une peine de prison et d’une amende de 750 000 euros (rien de moins !) les auteurs de toute divulgation d’information présentant une « valeur économique » ou faisant l’objet d’une « protection raisonnable ». Autant dire, tout et n’importe quoi. L’association UFC Que Choisir a finalement obtenu la suppression de cet amendement liberticide du point de vue de la liberté d’expression que du droit à l’information. Depuis quand l’information serait-elle un délit ?
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