Au moment du 1er confinement, au printemps dernier, les associations caritatives avaient lancé un appel à candidatures car la plupart de leurs bénévoles, âgés de plus de 65 ans, étaient considérés comme vulnérables et il était peu recommandé de leur demander une participation active. Incités à la fois par leur situation de chômage partiel ou total et par une grande vague de solidarité, de très nombreux jeunes ont répondu à l’appel. Aux Restos du cœur, on se félicite de ces nouveaux engagements si rapidement trouvés, qui ont permis de garder le même nombre de bénévoles tout au long de la crise. Et au sortir du confinement, lorsque l’activité professionnelle a plus ou moins repris, ils sont encore nombreux à être restés, en particulier parce que l’association a instauré de nouveaux horaires décalés pour l’ouverture des centres, en soirée ou le samedi matin.