C’est Valeurs actuelles qui va le plus loin, avec une couverture sans nuance : « Hypocrite, apocalyptique, hystérique : l’imposture Greta ». Mais bien d’autres suivent la même ligne, comme Causeur, qui sous le couvert d’appeler à la raison écologique « face aux climato-fanatiques », remet en cause tous les constats préoccupants sur l’état de la planète. De même Alain Finkielkraut, tout en se disant attaché à la défense de l’environnement, condamne l’écologie technicienne et n’hésite pas à conclure ses réflexions de façon ambiguë : « On délaisse l’amour des paysages pour les problèmes de l’environnement ». Sans omettre de mentionner Michel Onfray, qui n’hésite pas à mettre en cause la qualité scientifique des chercheurs du GIEC.